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Jafu Méro inspire Frédéric Bazille

1841-1870

En 1862, il part pour Paris. Sur le conseil de son cousin, le peintre Eugène Castelnau, il s'inscrit à l'atelier de Charles Gleyre où il perfectionne sa technique du dessin. Il y rencontre Claude Monet puis Auguste Renoir. Très vite, un groupe se forme autour d'Edgar Degas, Alfred Sisley, Édouard Manet, Berthe Morisot, Paul Cézanne, Camille Pissarro, Émile Zola et Paul Verlaine.
Le 19 juillet 1870, la France déclare la guerre à la Prusse. L’armée française se trouvant rapidement en difficulté, Bazille, avec la fougue de la jeunesse, s’engage dans le 3e régiment de Zouaves. Il trouve la mort à Beaune-la-Rolande (Loiret) le 28 novembre 1870. Au cours d’un assaut des troupes françaises, des femmes et des enfants couraient vers une ferme pour se mettre à l’abri. Selon ses camarades, Bazille s’est écrié : « Surtout ne tirez pas sur les femmes et les enfants ». Puis il s’est élancé pour les protéger. Il reçoit une balle dans le bras et une autre dans le ventre. Il vit encore quelques moments, confie sa bague à un camarade afin qu’il la remette à ses parents, puis s’éteint.

Seulement sept années se sont écoulées depuis son début dans la peinture à Paris.

Le peintre en situation, notre inspiration et source(s)

Frédéric Bazille a choisi le même sujet que William Turner, La plaine aux pins de Jafu-Méro. Il avait peint un paysage fort ressemblant " paysage au bord du Lez" paysage que nous avons emprunté, l'IA et moi, pour l'interpréter avec des couleurs plus provençales.

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